Brigandine médiévale
   

Brigandine médiévale

101528

Brigandine médiévale

La brigandine médiévale est une forme d'armure qui a traversé plusieurs siècles de l'histoire militaire européenne. Appréciée pour sa flexibilité, sa légèreté et sa capacité à protéger efficacement contre les coups.

Dépêchez-vous! seulement 1 articles restants en stock.
179,00 €
TTC
 

PAIEMENTS SECURISES

 

EXPEDITION SOUS 24 à 48H00

 

UN SERVICE CLIENTS A VOTRE ECOUTE

Brigandine médiévale

Cette brigandine, inspirée des cuirasses médiévales des XIVe et XVIe siècles, combine à la fois tradition et praticité. Conçue avec des plaques de cuir rivetées entre une coque extérieure et une doublure, cette armure permettait aux soldats de créer et de réparer facilement leur équipement, sans nécessiter l'expertise d'un armurier qualifié. Pesant seulement 6 800 g, elle offre une grande flexibilité, assurant ainsi une liberté de mouvement totale. D'une longueur d'environ 89 cm, elle se portait généralement par-dessus un gambison et une cotte de mailles. Ce type de protection est devenu particulièrement populaire auprès des combattants à cheval et des archers. Cette réplique est équipée de deux boucles pour garantir un ajustement parfait à différentes tailles.

Caractéristiques principales :

  • Confectionnée en daim de haute qualité
  • Parfaite pour les foires médiévales et les événements de loisirs de la Renaissance
  • Longueur : 89 cm
  • Poids des plaques de cuir : 198 g – 227 g 
  • Poids total : 6 800 g
  • Taille unique

 

Brigandine médiévale

L'historique de la brigandine médiévale : Une protection pratique et efficace

La brigandine médiévale est une forme d'armure qui a traversé plusieurs siècles de l'histoire militaire européenne. Appréciée pour sa flexibilité, sa légèreté et sa capacité à protéger efficacement contre les coups, cette armure est l'une des plus emblématiques de la période médiévale. Son design et ses matériaux en ont fait une alternative populaire à d’autres formes de protection, notamment la cotte de mailles, tout en restant relativement accessible pour les soldats, qu'ils soient riches chevaliers ou simples fantassins.

Les origines de la brigandine

L’émergence de la brigandine : Du XIIIe au XIVe siècle

La brigandine trouve ses origines au XIIIe siècle, bien que des armures similaires aient existé plus tôt sous différentes formes. À ses débuts, la brigandine se compose de plaques métalliques cousues ou rivetées sur un tissu épais ou un cuir, un procédé qui permet de créer une armure légère et flexible. Cette méthode de fabrication s’est développée en réponse à la nécessité d'une armure offrant à la fois protection et mobilité, en particulier pour les soldats qui combattaient à pied ou à cheval.

Le mot "brigandine" provient du terme "brigand", désignant les hommes de guerre ou bandits de l’époque, mais également une forme de protection associée à des mercenaires ou à des combattants peu fortunés. En effet, la brigandine était une armure relativement facile à produire, comparée à la cotte de mailles, et pouvait être fabriquée par des artisans locaux ou même par les soldats eux-mêmes, avec peu de compétences techniques spécialisées.

La brigandine et son évolution : Du XIVe au XVe siècle

Au cours des XIVe et XVe siècles, la brigandine se perfectionne. Les plaques de métal, principalement en acier ou en fer, sont rivetées sur un support de cuir ou de tissu solide, généralement en lin ou en laine, formant ainsi des couches multiples qui protègent le corps tout en permettant une certaine flexibilité. Cette construction à couches devient un élément essentiel de la brigandine, car elle offre une protection contre les armes tranchantes tout en permettant aux combattants de se déplacer librement.

À cette époque, la brigandine est couramment portée par les fantassins, les archers, mais également par certains chevaliers qui privilégient une armure plus légère pour augmenter leur mobilité. Les soldats portaient souvent la brigandine par-dessus un gambison, une tunique matelassée qui offrait un coussin supplémentaire de protection contre les impacts.

La fabrication et les matériaux de la brigandine

Matériaux et techniques de fabrication

Les brigandines étaient principalement fabriquées en cuir épais ou en tissu, auxquels étaient fixées des plaques de métal par des rivets. Les plaques étaient souvent disposées en lignes ou en colonnes, couvrant les parties les plus exposées du corps, comme la poitrine, le dos, et parfois les bras et les cuisses. La taille des plaques pouvait varier en fonction des préférences régionales ou de l’usage particulier de l’armure, mais en général, elles étaient suffisamment petites pour offrir une grande souplesse tout en restant solides pour arrêter les frappes des armes.

La fabrication de la brigandine nécessitait peu de compétences spécialisées, ce qui en faisait une option d’armure relativement économique. Comparée à la cotte de mailles, qui était coûteuse et longue à fabriquer, la brigandine pouvait être produite plus rapidement et à moindre coût. Cela a permis à un plus grand nombre de soldats, notamment les mercenaires et les troupes plus modestes, de s’équiper d’une protection efficace.

Les améliorations et les variantes régionales

Au fil des siècles, la brigandine s’est améliorée pour faire face à l'évolution des armements et des techniques de combat. Les plaques métalliques se sont affinées, et des designs plus sophistiqués sont apparus, comme des modèles incorporant des pièces articulées pour plus de flexibilité. Dans certaines régions, des variantes de la brigandine étaient intégrées à des armures complètes, comprenant la cotte de mailles, le heaume, ou la plate-armure.

La brigandine à travers l’histoire

La brigandine au Moyen Âge tardif

Au XIVe siècle, la brigandine devient une protection standard pour les fantassins et les archers, bien qu’elle soit également portée par des chevaliers qui optent pour une armure plus légère que les lourdes armures complètes. Les combats de plus en plus fréquents et violents entre les différents royaumes européens ont poussé les soldats à rechercher une armure offrant une mobilité optimale tout en maintenant un niveau de protection élevé.

Pendant les guerres du Moyen Âge tardif, comme la guerre de Cent Ans (1337-1453), les brigandines sont de plus en plus utilisées par les troupes, notamment les archers anglais qui, dans les batailles comme celle d'Azincourt (1415), les portaient souvent sous une épaisse couche de vêtements de protection.

La brigandine à la Renaissance

Au XVIe siècle, la brigandine se transforme et devient moins courante en raison de l'évolution des armures. À cette époque, les armures de plaques complètes, notamment la plate-armure, dominent les champs de bataille. Cependant, la brigandine ne disparaît pas totalement : elle est encore utilisée par des soldats, en particulier dans des contextes moins formels comme les tournois ou lors de l’équipement de mercenaires.

Malgré sa baisse d’utilisation sur les champs de bataille, la brigandine continue de vivre dans les armures décoratives ou dans les reconstitutions historiques. Au cours de la Renaissance, la brigandine devient également un élément important de l’armure de parade, où la protection cède le pas à l’esthétique et à la démonstration de statut.

Conclusion : La brigandine, symbole de protection et de praticité

La brigandine médiévale est un excellent exemple de l’ingéniosité des armuriers du Moyen Âge pour répondre aux besoins pratiques des combattants. L’armure combine simplicité, protection efficace et flexibilité, et est devenue un choix populaire pour les soldats tout au long du Moyen Âge. Bien qu’elle ait été progressivement supplantée par d'autres formes d'armure à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance, la brigandine reste l'une des protections les plus emblématiques de l’époque médiévale. Son histoire témoigne de l'évolution des techniques de guerre, des matériaux et des besoins militaires au fil du temps.

Brigandine médiévale

Un produit sélectionné pour sa qualité par La forge des Chevaliers®.

Les épées, couteaux ou bien poignards, haches, lances.... font partie des armes de catégorie D en France et en Europe. Elles sont donc librement accessibles aux adultes, mais leur port et transport sont soumis à réglementation.

Vente interdite aux mineurs, vous vous engagez en cas d'achat à être majeur de + de 18 ans (Vous devez indiquer sur l'honneur, votre date de naissance lors de votre inscription sur le site.

Nous nous réservons le droit de vous demander une pièce d'Identité valide pour justificatif). Ce produit est proposé pour une décoration médiévale, une reconstitution historique ou une collection privée.

Conditions de Vente et de Transport

Vente libre aux majeurs (plus de 18 ans).

Interdiction de porter une épée en public, sauf avec un justificatif (reconstitution, événement historique).

Transport autorisé sous conditions, avec rangement sécurisé et usage légitime.

: 101528
Dépêchez-vous! seulement 1 articles restants en stock.

Nous expédions vos commandes sous 24 à 48h00* (jours ouvrables)

  • Toutes dispositions sont prises pour l'emballage afin de protéger votre commande lors du transport
  • Nos produits sont controlés avant expédition
  • Si votre colis vous arrive détérioré, veuillez verifier le contenu et ne l'accepter que si l'état est conforme
  • Aucune réclamation ne pourra être accepté apres signature de la reception
  • Retour, veuillez consulter les termes de retour
  • Délai de rétractation 14 jours selon la législation (*sauf produits sur commande)

16 autres produits dans la même catégorie :